Qui est-il ?

Alain Finkielkraut, né le 30 juin 1949 à Paris est un philosophe, essayiste et académicien français. (fiche Wikipedia)

Documentaire – “Alain Finkielkraut, l’imparfait du présent” de Ilana Cicurel, réalisation de Cathie Levy, diffusée sur France 5 le 30 mai 2010

  • “J’essaye de chercher la vérité, je ne suis le porte-parole de personne.”
  • “Je crois a la nécessité de faire face, de penser sans garde-fou, parce que l’événement, tel qu’il arrive, n’a pas de précédent. Et je réagis avec violence, quand j’ai l’impression que les événements sont pré-interprétés, quand on les conforme immédiatement à un scénario connu d’avance, quand on les fait entrer dans une case qui ne leurs convient pas.”
  • “L’oeuvre d’art ne relève pas de la catégorie de l’utile (…) On doit donc se demander non pas à quoi elle peut nous servir mais de quel automatisme de pensée elle nous délivre.” ~ Un coeur intelligent

Le Divan – Le 24 mars 2015 sur France 3 – “On ne sait pas l’âge qu’on a”


Le Divan – Le 24 mars 2015 sur France 3 – La relation fusionnelle avec sa mère


Le Divan – Le 24 mars 2015 sur France 3 – “J’ai l’air d’une espèce de Jacquouille”


Entretien et reportage – KTO – 6 juin 2006

  • “Précarité, exclusion perspective du chômage, tout cela est vrai, mais cela n’excuse, ni même n’explique le saccage des écoles.  Je me suis étonné, avec d’autres, malgré tout, que le coeur de l’humanisme occidental ne batte plus aujourd’hui pour l’école, mais pour ses incendiaires.”
  • “Le journalisme est une nécessité absolue dans une époque comme la nôtre, parce que face à la pluralité, à la diversité des événements, nous sommes en effet tenus d’essayer de les mettre en ordre. Ce sont les visions du monde, la philosophie, ou l’idéologie qui pourvoient en nous à cette nécessité. Mais les journalistes sont là pour nous rappeler à l’ordre des vérités factuelles, pour empêcher que cette organisation ne devienne un système figé. Ils sont les gardiens des vérités factuelles, en tant que précisément, elles dérangent la systématisation. Malheureusement, il y a de plus en plus de journalistes idéologiques, de journalistes qui précisément systématisent. (…) Je pense que lorsque le journaliste abandonne les vérités factuelles au profit de la pensée systématique, il trahit sa vocation et il nous met nous-mêmes en péril car dès lors, comment allons-nous faire pour garder contact avec la réalité dans ce qu’elle a d’irréductible ?”

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